Voici un poème que j'ai écrit en 2006.
A la fin tu es las de ce monde ancien,
De la vie de tous les matins,
Tu es exténué par ce monde d'antan,
Où persone ne veut passer à un autre temps,
Tu aimerais pouvoir tout changer,
Mais, seul, tu ne pourras y arriver.
Dans la nuit solitaire,
Tu te demandes ce que tu fais dans cet univers,
Toi, qui es différent de toutes les personnes,
Qui ne font rien que de se lamenter,
Alors que toi, malgré tes blessures profondes,
Tu continues à vivre, à espérer.
Tu te rappelles de toute ta vie,
Qui n'a pas vraiment été réussie,
Mais tu t'endors,
Avec tes meilleurs souvenirs,
Et même le vent qui souffle dehors,
Ne pourras couvrir tes soupirs.
Devant l'aube qui s'éveil,
L'aube qui t'enlèves de ton profond sommeil,
Tu regardes avec mélancolie,
Ton oreiller trempé de larmes enfin taries,
Que personne ne pourra sécher,
Car tu as perdu l'envie d'aimer.
Depuis ce terrible malheur,
Tu as espéré pendant tant d'années trouver le bonheur,
Mais son souvenir te revient toujours,
Tu revois son visage solennel,
Partir pour toujours,
Dans les brumes éternelles.
Mais, au fond de tois, tu espères toujours,
Qu'une vie meilleure voit le jour,
Car tu te dis qu'elle aurait aimé te voir heureux,
Au crépuscule, tu admires les cieux,
Et, regardant les étoiles,
Tu penses à elle, qui est peut-être devenue l'une d'entre-elles
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